On peut être surpris par les très faibles teneurs en mercure mesurées dans les sols agricoles, même dans ceux situés non loin de Paris (le plus souvent 0,04 à 0,06 mg/kg). Toutes les valeurs supérieures à 0,10 mg/kg correspondent déjà à de faibles contaminations (retombées atmosphériques ou épandages de boues d’épuration des années 1970-1980).
On décèle des anomalies anthropiques notables (valeurs supérieures à 0,30 mg/kg), localisées dans quelques secteurs comme en Seine-et-Marne occidentale, lesquelles semblent liées à des apports de « gadoues » urbaines dans les années 1960.
Cette carte est issue du RESF. L’utilisateur s’engage à citer le rapport sur l’état des sols de France.